Je trouve qu'une des choses compliquées avec les relations parasociales c'est l'asymétrie : j'ai l'impression de te connaître car tu me partages des morceaux de ta vie depuis 10 ans, mais l'inverse est faux. Au mieux mon pseudo t'évoque vaguement quelque chose car on a interagit quelques fois mais tu ne connais rien de moi. Ça donne une fausse impression de proximité qui favorise l'envie de s'adresser aux personnes qu'on suit comme on parlerait à une amie, en blaguant, en employant le second degré (mais pour le comprendre il faudrait se connaître), en étant direct, alors que de l'autre côté c'est juste un.e inconnu.e donc hyper malpoli.
Oui, je reconnais tout à fait ton pseudonyme et c'est vrai que tu me suis depuis longtemps :). Je partage totalement ton point de vue sur cette asymétrie relationnelle et je pense qu'elle est ressentie des deux côtés (mais peut-être pas pour les mêmes raisons) !
Merci pour ce partage qui est très intéressant. Moi qui suis une autrice qui débute, je me rend compte que j'ai beaucoup misé sur les réseaux sociaux, alors qu'au final je vend plus par le bouche à oreille. (Mais c'est extrêmement dur d'oser montrer ma facette d'autrice aux personnes que je fréquente quotidiennement). Comme le dit alexe martel dans sa dernière newsletter (que je vous conseille), on arrive à une aire post réseau sociaux, et petit à petit sans s'en rendre vraiment compte on prend nos distances. Si j'aime toujours Instagram via les rencontres et personne découverte, je ne peux plus fermer les yeux sur le modèle de société et le moule que veux nous imposer ses entreprises privées.
Alors #notallmen, les généralités, c'est mal, tout ça tout ça, mais je trouve assez révélateur que ce soit un homme qui trouve que Côme n'a quand même pas tout à fait tort à ton sujet, et que ce soit une femme qui dise que c'était un gros malpoli.
Du coup, je serai assez intéressée de connaître le genre des personnes qui ont voté qu'il était seulement maladroit.
J'ai dévoré ton récit tout en faisant les gros yeux en imaginant ce malotru de Côme. Et j'ai eu un petit moment de vertige en réalisant que lorsque tu dis "il y a 8 ans", c'est le moment de la Loi travail, donc je lisais déjà ton blog je te suivais sur Twitter etc, damned. Les relations parasociales et les vraies connaissances qu'on se fait sur les réseaux, ça prend une autre ampleur quand on commence à parler en dizaines d'années, ça me fascine.
ça me touche ! je trouve souvent du réconfort à lire d'autres personnes, enfin d'autres femmes en particulier je dois dire, même lorsque je ne les ai pas rencontrées, savoir qu'elles sont toujours dans les parages des internet. Bon les 30 ans ça me rend complètement mièvre moi, je suis vraiment en mode tout est amour tout est beau aha. BREF au plaisir de te lire par ici ou sur papier :D
Quel malotru ce Côme ! Et sinon c'était super intéressant de te lire sur ce sujet qui me travaille toujours un peu en filigrane (les réseaux, nos relations sociales dessus...) et probablement différemment (on ne vit pas les mêmes choses) mais c'est similaire quand même.
Je trouve qu'une des choses compliquées avec les relations parasociales c'est l'asymétrie : j'ai l'impression de te connaître car tu me partages des morceaux de ta vie depuis 10 ans, mais l'inverse est faux. Au mieux mon pseudo t'évoque vaguement quelque chose car on a interagit quelques fois mais tu ne connais rien de moi. Ça donne une fausse impression de proximité qui favorise l'envie de s'adresser aux personnes qu'on suit comme on parlerait à une amie, en blaguant, en employant le second degré (mais pour le comprendre il faudrait se connaître), en étant direct, alors que de l'autre côté c'est juste un.e inconnu.e donc hyper malpoli.
Hello Margaux
Oui, je reconnais tout à fait ton pseudonyme et c'est vrai que tu me suis depuis longtemps :). Je partage totalement ton point de vue sur cette asymétrie relationnelle et je pense qu'elle est ressentie des deux côtés (mais peut-être pas pour les mêmes raisons) !
Merci pour ce partage qui est très intéressant. Moi qui suis une autrice qui débute, je me rend compte que j'ai beaucoup misé sur les réseaux sociaux, alors qu'au final je vend plus par le bouche à oreille. (Mais c'est extrêmement dur d'oser montrer ma facette d'autrice aux personnes que je fréquente quotidiennement). Comme le dit alexe martel dans sa dernière newsletter (que je vous conseille), on arrive à une aire post réseau sociaux, et petit à petit sans s'en rendre vraiment compte on prend nos distances. Si j'aime toujours Instagram via les rencontres et personne découverte, je ne peux plus fermer les yeux sur le modèle de société et le moule que veux nous imposer ses entreprises privées.
Hello Gwenn,
Le bouche à oreiller sera toujours plus puissant que n'importe quel autre canal de communication. C'est à la fois frustrant et enthousiasmant.
Merci pour la recommandation d'Alexe Martel que je note précieusement.
Alors #notallmen, les généralités, c'est mal, tout ça tout ça, mais je trouve assez révélateur que ce soit un homme qui trouve que Côme n'a quand même pas tout à fait tort à ton sujet, et que ce soit une femme qui dise que c'était un gros malpoli.
Du coup, je serai assez intéressée de connaître le genre des personnes qui ont voté qu'il était seulement maladroit.
Hahaha je suis curieuse aussi !
J'ai dévoré ton récit tout en faisant les gros yeux en imaginant ce malotru de Côme. Et j'ai eu un petit moment de vertige en réalisant que lorsque tu dis "il y a 8 ans", c'est le moment de la Loi travail, donc je lisais déjà ton blog je te suivais sur Twitter etc, damned. Les relations parasociales et les vraies connaissances qu'on se fait sur les réseaux, ça prend une autre ampleur quand on commence à parler en dizaines d'années, ça me fascine.
Mon Dieu, 8 ANS. Ca ne nous rajeunit pas ! Mais si heureuse de te connaître depuis tout ce temps, même de loin 🩷
ça me touche ! je trouve souvent du réconfort à lire d'autres personnes, enfin d'autres femmes en particulier je dois dire, même lorsque je ne les ai pas rencontrées, savoir qu'elles sont toujours dans les parages des internet. Bon les 30 ans ça me rend complètement mièvre moi, je suis vraiment en mode tout est amour tout est beau aha. BREF au plaisir de te lire par ici ou sur papier :D
Quel malotru ce Côme ! Et sinon c'était super intéressant de te lire sur ce sujet qui me travaille toujours un peu en filigrane (les réseaux, nos relations sociales dessus...) et probablement différemment (on ne vit pas les mêmes choses) mais c'est similaire quand même.
Merci pour tout ça :)
Hahaha tu es vraiment très élégante à l'appeler malotru 😁
Crois-moi qu'il y a bien d'autres termes qui me sont venus en tête 😏
aha punaise le premier mot qui m'est venu c'est malotru aussi, c'est vraiment ce qui doit se dégager de lui
j'adore ce vocabulaire un peu désuet, je propose "quel mufle !"