Très très intéressant ton retour sur la notion de brouillon sur les réseaux sociaux !! J'avais en tête de faire la même chose que toi, partager quelques premiers drafts de mon roman. Je vais cogiter davantage sur le sujet :)
Moi aussi j'adore observer les autres, par la fenêtre (mon nouvel appart est un peu loin pour voir vraiment ce qu'il se passe chez les voisins..) mais surtout un peu partout, dans le métro, la rue... Imaginer la vie de ces inconnus croisés furtivement, ça a toujours été un truc que j'ai adoré faire 🫣
Et c'est bien dommage que ce partage de brouillons n'aura pas lieu finalement, mais je comprends totalement les raisons pour lesquelles tu ne vas finalement pas le faire et partage ton avis/tes réflexions sur le sujet des critiques reçues en ligne 😕
J'ai grandi dans un appartement au 6e étage dont ma chambre avec balcon donnait côté rue, au-dessus d'un square et des immeubles d'en face. J'ai toujours adoré me pencher et regarder ce qu'il se passait en bas, protégée par la hauteur et la barrière du balcon ! A tel point que plus tard (notamment au moment du covid), quand j'ai vécu dans des appartements qui ne donnaient que côté cours, j'étais hyper frustrée de ne pas pouvoir savoir ce qui se passait dehors.
Par rapport au deuxième sujet que tu évoques, sur la présence en ligne en général, ça m'a toujours déprimée de voir des gens justifier leurs critiques simplement par le fait que le contenu était "public". Quand on sort dans la rue, personne ne se permet d'aller voir les autres pour leur faire des remarques sur leur tenue ou leur démarche ?? Bref - je suis triste car j'aurais adoré suivre ton cheminement créatif mais je comprends tout à fait ton exaspération.
Merci en tout cas pour cette newsletter et bonne semaine !
Merci beaucoup Marie, j'ai adoré lire ta propre petite anecdote sur ta curiosité envers tes voisins.
Pour ce qui est de la seconde partie de ton message, je suis totalement d'accord avec toi, mais pas tout le monde a entrepris cette démarche de réflexion....
J'ai trouvé tes brouillons poétiques dans leur vulnérabilité si belle, quel dommage que certains veuillent toujours partager leurs avis non sollicités...
As-tu pensé à un canal de discussion sur Instagram peut-être ? Enfin tu t'y connais sans doute mieux que moi 😁.
J'aime aussi regarder les gens qui passent depuis ma fenêtre, cette semaine, j'ai vu de loin un père revenir avec ses deux enfants, inévitablement il avait à la main les deux trottinettes, il avait posé ses deux pieds dessus comme des patins à roulettes et les petits le poussaient. Ça m'a fait rire à un moment où j'en avais bien besoin, les petits bonheurs de la vie 🥰.
Le canal de discussion je vais y réfléchir, mais d'abord je vais retourner dans ma tanière (haha) et me replonger dans mes écrits. C'est plus serein pour mon cerveau toujours en ébullition.
Très très intéressant ton retour sur la notion de brouillon sur les réseaux sociaux !! J'avais en tête de faire la même chose que toi, partager quelques premiers drafts de mon roman. Je vais cogiter davantage sur le sujet :)
Je suis également très curieuse de ce que vivent les autres, j'aimerais parfois connaître leurs pensées, etc.
En relisant ce titre, ça me fait penser à l'épisode de Transfert sur le sujet des voisins : https://www.slate.fr/audio/transfert/jusquou-peut-aller-pour-devenir-ami-avec-ses-voisins / Je crois que je ne m'en suis jamais remise ;)
Moi aussi j'adore observer les autres, par la fenêtre (mon nouvel appart est un peu loin pour voir vraiment ce qu'il se passe chez les voisins..) mais surtout un peu partout, dans le métro, la rue... Imaginer la vie de ces inconnus croisés furtivement, ça a toujours été un truc que j'ai adoré faire 🫣
Et c'est bien dommage que ce partage de brouillons n'aura pas lieu finalement, mais je comprends totalement les raisons pour lesquelles tu ne vas finalement pas le faire et partage ton avis/tes réflexions sur le sujet des critiques reçues en ligne 😕
Bonne semaine ❤️
Merci Yasmine (et contente d'apprendre qu'on partage cette même passion bizarre🤭)
Hello Sophie,
J'ai grandi dans un appartement au 6e étage dont ma chambre avec balcon donnait côté rue, au-dessus d'un square et des immeubles d'en face. J'ai toujours adoré me pencher et regarder ce qu'il se passait en bas, protégée par la hauteur et la barrière du balcon ! A tel point que plus tard (notamment au moment du covid), quand j'ai vécu dans des appartements qui ne donnaient que côté cours, j'étais hyper frustrée de ne pas pouvoir savoir ce qui se passait dehors.
Par rapport au deuxième sujet que tu évoques, sur la présence en ligne en général, ça m'a toujours déprimée de voir des gens justifier leurs critiques simplement par le fait que le contenu était "public". Quand on sort dans la rue, personne ne se permet d'aller voir les autres pour leur faire des remarques sur leur tenue ou leur démarche ?? Bref - je suis triste car j'aurais adoré suivre ton cheminement créatif mais je comprends tout à fait ton exaspération.
Merci en tout cas pour cette newsletter et bonne semaine !
Merci beaucoup Marie, j'ai adoré lire ta propre petite anecdote sur ta curiosité envers tes voisins.
Pour ce qui est de la seconde partie de ton message, je suis totalement d'accord avec toi, mais pas tout le monde a entrepris cette démarche de réflexion....
J'ai trouvé tes brouillons poétiques dans leur vulnérabilité si belle, quel dommage que certains veuillent toujours partager leurs avis non sollicités...
As-tu pensé à un canal de discussion sur Instagram peut-être ? Enfin tu t'y connais sans doute mieux que moi 😁.
J'aime aussi regarder les gens qui passent depuis ma fenêtre, cette semaine, j'ai vu de loin un père revenir avec ses deux enfants, inévitablement il avait à la main les deux trottinettes, il avait posé ses deux pieds dessus comme des patins à roulettes et les petits le poussaient. Ça m'a fait rire à un moment où j'en avais bien besoin, les petits bonheurs de la vie 🥰.
Bonne semaine !
Coucou Lucile,
Merci beaucoup, c'est adorable.
Le canal de discussion je vais y réfléchir, mais d'abord je vais retourner dans ma tanière (haha) et me replonger dans mes écrits. C'est plus serein pour mon cerveau toujours en ébullition.