Une newsletter aux sujets pluriels, traités avec la même passion
Pourquoi cette newsletter ?
Je me sens de plus en plus limitée sur les réseaux sociaux. Si j’ai pu apprécier la proximité, l’instantanéité et l’authenticité qu’ils créent, j’en ai aussi senti plusieurs fois le revers de la médaille. L’agressivité et la violence de certains échanges, la pression constante (de par l’algorithme et/ou les autres utilisateurs), la nécessité de nourrir des algorithmes exigeants avec un contenu uniformisé/très formaté ont fini par brider ma créativité, une fois l’euphorie de la nouveauté passée…
Je ressens le besoin de revenir à des formats plus longs, plus approfondis, qu’on prend le temps de rédiger sans forcément réagir à chaud. Je souhaite écrire pour des personnes qui souhaitent me lire à tête reposée. Je vois cette démarche comme un pied de nez et une réponse à mon échelle à tout ce bruit constant, à cet Internet assourdissant (que j’aime profondément tant il m’émerveille, mais qui, moi aussi, m’épuise par moments).
Qu’est-ce qu’on retrouve dans cette newsletter ?
Pour rester en adéquation avec ce que j’ai écrit précédemment, cette newsletter n’a donc pas un sujet précis. Le fil conducteur restera la spontanéité, l’envie de vous partager et de vous livrer le plus sincèrement ce que j’ai en tête et sur le coeur. Difficile de faire une liste donc… en voici une qui ne demande qu’à être complétée :
l’actualité de mes romans, les backstages (les idées et avancées de projets qui ne sont pas encore publiés), mon rapport à mon métier d’autrice ou encore ma vision du monde de l’édition
une oeuvre (littéraire, musicale, cinématographie, télévisuelle, artistique,…) qui a retenu mon attention (positivement ou négativement), ce que j’en pense et pourquoi
des partages de pensées, d’anecdotes, de souvenirs parfois joyeux ou plus tristes. même si j’ai changé mon rapport aux réseaux sociaux depuis quelques mois afin de gagner en sérénité, j’ai un réel besoin de partager en ligne. Parler de l’intime en fixant mes propres limites m’est important
mes coup de coeur… n’importe lesquels
des réactions en rapport avec l’actualité car même si j’essaie de ne plus réagir à chaud sur des sujets qui finissent par me rendre malade, triste et en colère, mes convictions morales et politiques guident ma vie. Ces réactions ne seront donc ni constantes ni automatiques et les causes dont je parle ne seront pas forcément plus importantes que celles dont je ne parle pas (et inversement)
TW : cette newsletter parlera parfois d’anxiété et de dépression
… Le reste ne demande qu’à s’écrire. :)
Quelle est la fréquence de cette newsletter ?
1 à 2 fois par mois, selon le temps, l’énergie et l’envie que j’ai.
La créatrice
Je m’appelle Sophie Gliocas. Oui, c’est un nom de plume : Gliocas signifie “sagesse” en gaélique écossais, ce qui est la même signification que Sophie (d’origine grecque, pour le coup).
J’ai 29 ans (je suis souvent curieuse de l’âge des gens, donc je précise le mien spontanément).
Je suis née à Paris, où je vis. J’ai aussi vécu à Rennes, peu après mes études à l’université.
Je suis autrice, mais ce n’est pas mon seul métier (je n’en vis pas), je suis aussi Responsable social media (je gère la communication d’une entreprise sur les réseaux sociaux, si vous préférez).
J’anime un podcast pop-culture et féminisme, “J’ai pas sommeil”. Je réalise les épisodes sur mon temps libre, la production est donc irrégulière, mais je remercie toute la communauté qui l’écoute fidèlement ! Je suis toujours surprise de l’intérêt qu’ont suscité seulement une poignée d’épisodes.
Le sujet risque de revenir dans mes textes donc je préfère l’anticiper : je souffre d’un Trouble Anxieux Généralisé (TAG) et j’ai eu plusieurs épisodes dépressifs dans ma vie (dont certains classés comme “sévères”).
Mon parcours
Mon premier roman a été publié en septembre 2021, il est le tome 1 d’une tétralogie de young-adult fantastique, Les Enchanteresses. Cette publication est le résultat d’un travail de plusieurs mois, commencé en mars 2020 lors du premier confinement. J’ai eu de la chance : j’ai partagé quelques courts extraits sur Instagram et j’ai été repérée par Charlotte, lectrice pour la maison d’édition Hachette Romans. Quelques mois plus tard, je signais chez eux.
Cependant, cette saga est aussi le fruit d’un travail de longues années : j’écris sur Internet depuis plus de 15 ans. Comme beaucoup de millenials, j’ai tenu des blogs (sur ma vie et sur tout un tas d’autres sujets) avant de me tourner vers les réseaux sociaux. J’ai partagé des textes parfois intimes, d’autres fois engagés et même parfois les deux. J’ai aussi écrit des fanfictions Harry Potter (et j’en écris encore, oups) qui ont su conquérir plusieurs milliers de lectrices. Bref, mon écriture a mûri en même temps que ma communauté a grandi (en âge, parfois et en nombre, surtout).
Me retrouver sur :
